La question sur les violences en milieux scolaire fait couler beaucoup d’encre et de salive ces dernières années. Si le phénomène a plusieurs formes, cette fois nous nous appesantirons sur les sévices qu’infligent certains élèves à leurs semblables.
Celui-ci s’est imposé de par la violence des sévices notamment corporels infligées aux subit victimes, malheureusement le retour des autorités compétentes reste figé vers la répression, pourtant il est clair que cette manière de procéder n’aide pas à endiguer le phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur au fil des ans.
A la suite d’une altercation connue par les responsables d’établissement l’exclusion d’un jeune qui s’adonne à la violence est à première vue dissuasive pour ses camarades, mais ne règle en aucun ça le problème en amont car a priori il parait évident que le que la violence expérimentée par un jeune est souvent la résultante d’une souffrance psychologique silencieuse et non extériorisée, de ce fait la question de l’exclusion apparait bien plus qu’une solution exhibitoire que les chefs d’établissements se complaisent à prononcer pour faire asseoir leur autorité devant leurs apprenants, sans toutefois penser à un suivi des victimes et leurs agresseurs, une erreur monumentale commise par les autorités éducative qui à terme produit des effets pervers que la société devra payer au prix fort.
Car faute d’un plan de redressement bien élaboré, ces jeunes une fois sortis du système éducatif finissent par élargir les rangs des grands récidivistes
Si des campagnes de sensibilisations contre les violences en milieux scolaire, organisés dans les établissements des enseignements du 1er et 2nd ont été brandit comme solution adéquate, elle ne saurait à elle seule résorber le problème.
Il est connu de tous à moins de me tromper que chaque enseignant qu’il soit du 1er ou du 2nd dégré lors de sa formation en tant que pédagogue étudie « la psychologie de l’enfant », un module très important qui leur permet d’étudier, de comprendre les contours des comportements des apprenants, de déceler les humeurs et autres agissements déviants ou inquiétants afin de mieux les accompagner et de les emmener à s’ouvrir :
Le but étant de faciliter la socialisation et l’intégration de l’enfant au milieu de ses camarades, sachant qu’un enfant heureux est un enfant épanoui et donc PACIFIQUE.
Mais il est clair qu’accompagner un enfant en souffrance sans comprendre son quotidien en collaborant étroitement avec les parents ce derniers serait comme verser de l’eau sur le dos d’un canard.
La sensibilisation et la répression certes mais un suivi psychologique des enfants faisant preuve de violence auprès de leurs condisciples, leurs parents, les victimes et les parents de ces dernières ainsi qu’une bonne communication aves les parents reste une démarche sure pour faire régresser le phénomène de violences dans les établissements scolaire.